Démontage du dessus des chambres … OMG ça fini mal !! Si j’étais youtuber, clairement j’aurais fait des vues sur une vidéo avec un tel titre ! Je vais mettre fin au suspense : il n’y a rien eu de plus qu’un petit, banal, léger accident de chantier. Trêves de galéjades, comme on dit, et place au travail. Le menu du jour : tomber les plafonds des deux chambres actuelles (chambres 1 & 2 sur le plan).

Dans la continuité du travail effectué sur les plafonds de la mezzanine et salle de bain du haut, je poursuis la création de mon fameux « toit cathédrale »  tongue-out Mais tout d’abord il faut retirer toute la surface d’aggloméré et ensuite celle d’isolant/placo posé sur le plancher.

Et mine de rien, cela représente du volume et beaucoup de déchets, je déteste le polystyrène ça en met de partout. Ils vont être contents à la déchetterie.

Après deux voyages bien plein on se rend compte qu’en fait on le Kangoo permet de mettre une sacrée quantité de bazar. La benne était vide avant que je fasse mes deux voyages.

Maintenant que le plancher en lui même est accessible, je vais pouvoir passer un coup d’aspirateur histoire d’avoir le moins de poussière/polystyrène/bouts de bois qui pourraient tomber dans les chambre en dessous.

J’attaque logiquement par la partie la moins facile : le plancher de la chambre 1. Sous pentes, il y a peu de hauteur pour pouvoir manier le pied de biche de quatre-vingt dix centimètres. De plus les planches se fendent sur leur longueur ou cassent en leur milieu ce qui a vite fait de me faire monter en pression.

Et quoi de mieux quand on est sous pression que de démonter à la sauvage pour se passer les nerfs … Et en fait cette méthode s’avère beaucoup plus rapide et efficace même si le bois n’est pas récupérable. Mais vu son état ce n’est peut-être pas une grosse perte.

Et voilà le travail ! Sans perdre de temps j’enchaine sur la chambre 2 qui est plus grande et qui possède un faux plafond sous les solives. Par contre je reviens à ma technique du double pied de biche, beaucoup plus efficace dans cette situation.

Après un bon paquet de temps, je fini par n’avoir que le faux plafond de visible sous mes solives. Ça fait plaisir mais un regard en contre bas me rappelle que je vais encore aller voir mes nouveaux amis à la déchetterie laughing

Toujours dans l’optique de diminuer le nombre de saloperies qui tomberaient dans la chambre du dessous je décide de passer un coup d’aspirateur entre les solives sur le dessus du faux plafond. Après seulement je tomberai les grandes plaques de »bois mâché ». Je ne connais pas le nom de ce matériaux mais ça décrit bien là texture. Là, pas vraiment de difficulté, j’avance vite en tapant les plaques par le dessus avec la masse.

Et voilà le travail, il ne reste plus qu’à les sortir de la pièce pour conclure ce weekend de travail.

« Au scandale! Tu nous avais parlé d’un accident et t’en parles pas ! » Effectivement c’est une technique de youtuber pour garder son public jusqu’à la fin. En fait comme je le disais c’est assez banale. En passant l’aspirateur sur le faux plafond, j’ai perdu l’équilibre et j’ai basculé entre les solives. L’instinct de survie (sûrement ou alors mes gênes de primate) a fait en sorte que je me rattrape « aux branches », il ne me restait plus qu’à finir ma descente d’un étage tout en douceur.

Le lieu « du drame » tongue-out Donc au final ça ne valait même pas la peine d’en parler mais il fallait bien que j’introduise l’article d’une façon ou d’un autre. N’empêche que ça m’a fait une belle trace rouge/bleue dans le dos et un gros bleu derrière la cuisse.