Ça y est, c’est parti pour les vrais travaux sur la maison ! Comme dit dans un sketch qu’on apprécie avec des collègues : « Casse moi tout là d’dans j’veux plus rien r’connaitre ! »

Donc dans l’ordre que j’ai choisi, il s’agit de faire un plancher tout beau tout propre sous le combles et pour ça il n’y a pas trente six solutions il faut commencer par virer l’existant qui est au mieux abimé, au pire vermoulu ! Et pour travailler tranquillement quoi de mieux que de commencer par vider du bazar et s’installer correctement pour être (relativement efficace). Afin de vous y retrouver j’ai fait un petit plan pour vous situer les zones entre elles. Les vides sont des zones où il n’y a pas de plancher au niveau des combles.

J’attaque donc par me poser un peu de son ainsi qu’un treuil pour descendre d’un étage ce que je dois sortir de la maison.

Et je commence tranquilou par sortir ce qu’il y a au dessus de la chambre « blanche ». Tasseaux, tuiles, un peu de tout venant que je stocke dans la zone « vide 1 ». Le tout dans une fraicheur toute estivale smile

Sauna gratuit si c’est pas classe ? Une fois cet emplacement propre, il est temps d’attaquer le démontage en lui même par le côté le plus éloigné de la double porte. Je pense que ce sera le plus simple pour sortir tout au fur et à mesure que je déblaye les zones. C’est donc par la partie « atelier » que je commence.

Comme on peut le voir sur la photo, il y a deux couches d’aggloméré ainsi qu’une couche de « plancher » et enfin les solives qui portent le tout. Soit plus de soixante-dix mètres carrés d’agglo et un peu plus de trente cinq mètres carrés de plancher. De quoi m’occuper quelques soirs.

Donc après avoir tout nettoyé, on commence par dévisser et sortir les plaques d’agglo 12 mm hydrofuge qui pèsent déjà bien assez lourd comme ça. Tout se passe toujours selon le même schéma : démontage, descente d’un étage (devant la porte fenêtre dans la zone « vide 1) une fois que je n’ai plus de place je stocke en extérieur et je fini par des allers retour en déchetterie.

Bon par contre dans les boulettes (il y en a toujours) le système de fixation par sangle que j’avais fait pour mon treuil a lâché. Pas de bobo heureusement, mais j’ai du cacher les arrêtes saillantes des boucles de fixation et bricoler un support pour éviter d’abimer le bois de la poutre d’origine.

Cette interlude passée, j’ai pu attaquer la dernière couche de plancher avant d’apercevoir les solives. Ces « planches » ne sont pas clouées sur les solives ce qui facilite leur dépose, par contre leur taille et leur poids ne sont pas sans poser des petits soucis de manutention.

Comme vous pouvez le voir sur les photos il y avait beaucoup d’écart entre les solives et pas mal de hauteur en dessous (je dirais plus de trois mètres) donc j’ai pris soin de me bricoler un assurage façon escalade et j’ai travaillé avec un baudrier pour toute une partie de la zone « atelier ».

Voici qui conlue une semaine de boulot en parallèle de mon travail. Vive le télétravail pour le coup car cela me permet de ne pas perdre la motivation en rentrant chez moi et je gagne du temps en étant directement sur place.